Traduction anglaise par Marilyn Hacker : «Les mots je le sais maintenant...» (Poetry London, Summer 2002) ; «Les mots , vol aveugle dans les ténèbres...», «D'où viennent les mots?...», «Comment...
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Traduction anglaise par Marilyn Hacker : «Les mots je le sais maintenant...» (Poetry London, Summer 2002) ; «Les mots , vol aveugle dans les ténèbres...», «D'où viennent les mots?...», «Comment trouver le nom du pêcheur qui fera le premier mot...», «L'homme prudent accrochait sa famille à sa ceinture...», «Le langage en ce temps-là faisait feu de tout bruit...» et «Que savons-nous des alphabets...» (Gobshite Quaeterly, sans date) ; «Les mots je le sais maintenant...» (Gobshite Quarterly, Isse 4/5, Best Gob, sans date) ; «D'où viennent les mots?...» (sans date).
Traduction anglaise par Hélène Brunerie et Paul Currah (2002) : «Deux lunes...» ; «Personne à qui parler dans le miroir...» ; «La mariée agitera ses poignets jusqu'au crépuscule...» ; «La Nuit sans sommeil pour la femme qui reçoit l'obscurité...» ; «Soulever le couvercle de la marmite...» ; «Elle vient vers elle-même quand marche le miroir...» ; «Un vent pauvre lui tient tête dans l'âtre...» ; «Elle ouvre au porteur de bonne nouvelle...» ; «Sa conviction que la mort sortira du miroir...» ; «Malaise de la femme face à la ville...».
Traduction anglaise du recueil sans mention d'auteur et sans date.
Traduction suédoise par Stenarnas Madkänsla : «Les mots je le sais maintenant...» (Karavan n°4, 2003).