Les archives comprennent de nombreux manuscrits de traductions de l'américain et de l'espagnol, de Faulkner à Steinbeck, de Valle-Inclán à Truman Capote. Elles comportent également les essais critiques de l'auteur, le manuscrit retravaillé de son ouvrage d'entretiens avec Christian Guidicelli, Mémoires d'un traducteur, ainsi que des notes de travail et une partie de sa correspondance professionnelle. De la documentation, de nombreux dossiers de la Société des Amis de Maurice Edgar Coindreau relatifs au prix du meilleur livre américain en traduction, parfois postérieurs au décès de l'auteur et un important dossier de presse, composé à la fois de ses articles, d'articles sur lui et sur ses textes traduits, complètent cet ensemble.
Outre son Journal, les archives de Ludmila Savitzky contiennent des mémoires sur sa
jeunesse russe, d'importants dossiers de travail sur les auteurs qu'elle a traduits
ou commentés, des dossiers de réception critique de ses œuvres, de la documentation
bibliographique, un choix de photographies de famille et d'amis (hommes de lettres)
et une masse importante de lettres reçues - en particulier de Max-Pol Fouchet, James
Joyce, Ezra Pound, Julien Benda, Jean-Richard Bloch, André Spire, Rachilde, Alfred
Vallette et de toute l'intelligentsia de son temps. Toutes les pièces ayant servi à
son divorce d'avec son deuxième mari, Jules Rais, constituent un dossier
sociologique représentatif de l'histoire des mœurs et des femmes sous la Troisième
République. Les archives personnelles de John Rodker contenues dans le fonds Ludmila
Savitzky sont essentielles pour comprendre la genèse de l'œuvre de Rodker et sa
relation à sa principale traductrice en français.
Les échanges entre Marcel Bloch et Ludmila sont restés à Lestiou, dans les archives
familiales [2 boîtes pp argent] ainsi que les lettres de la famille proche :
André, Gertie, etc. Il n'y a à l'IMEC qu'une seule carte postale signée du couple
« Marcel-Suzanne].
Le fonds contient ses dossiers de travail, les manuscrits de son œuvre littéraire, de ses articles ainsi que les versions scénarisées de ses romans. On retrouve également ses traductions depuis l'hébreu des oeuves d'Amos Kenan. Les dossiers de correspondances sont rassemblés autour de la publication de ses livres. Des dossiers de presse complètent cet ensemble.
Les archives de ce fonds sont essentiellement constituées de dossiers d'auteurs comprenant notamment des contrats, de la correspondance et des relevés de droits (La classification "auteurs français / auteurs étrangers"est directement issue du classement d'origine). Des archives économiques et juridiques datant des débuts de l'agence y sont adjointes. Les archives de l'agence littéraire Jenny Bradley sont également conservées dans le fonds.
Les archives reflètent l'ensemble de ses activités de traducteur - de Faulkner, avec les traductions de Sartoris, Sanctuaire, ainsi que d'un grand nombre de nouvelles et d'essais inédits -, mais aussi de John Cowper Powys, Fred Chappell ou Shelby Foote. Elles reflètent également son travail d'universitaire (cours sur la littérature américaine), de critique littéraire, d'éditeur scientifique et de directeur des Etudes faulknériennes. Le fonds comprend aussi un hommage à Maurice-Edgar Coindreau, dont il fut le disciple.
Le fonds contient quelques archives concernant l'œuvre romanesque de Gilles
Barbedette, dont son roman Baltimore, mais la majorité
des archives se rapporte principalement à son travail de traducteur et de maître
d'œuvre initial d'un projet d'édition des œuvres de Vladimir Nabokov dans la «
Bibliothèque de la Pléiade ». L'ensemble documentaire ainsi constitué comprend des
documents qu'il avait produits ou rassemblés au fil des ans sur Vladimir Nabokov :
manuscrits de traductions, correspondance avec Vera Nabokov (veuve de l'auteur) et
René de Ceccatty, Daniel Defert, plusieurs membres de la famille Gallimard, Hervé
Guibert, Maurice Nadeau ou Edmund White, des dossiers préparatoires, des dossiers de
presse (qui commencent en 1939) et des dossiers thématiques. Une correspondance de
Nabokov, rédigée en français - attestant de l'importance de son séjour à Paris -
ainsi qu'un ensemble iconographique enrichissent le fonds.
Le fonds comprend les manuscrits de son oeuvre de dramaturge, de romancier, d'essayiste et de traducteur. Pour chaque titre, il existe de nombreuses versions dactylographiées avec des corrections différentes accompagnées parfois du texte initial manuscrit. Marcel Ollivier retravaillait énormément ses textes : ses mémoires restées inédites jusqu'à ce jour, à l'exception d'un extrait publié dans la revue " Communisme ", n°55/56 en 1998, en sont un exemple parfait. La correspondance reçue des éditeurs et sa correspondance avec Yvon Bourdet, Branko Lazitch et François Maspero met en évidence son intense activité de traducteur (entre autres les poèmes de jeunesse de Marx et Engels publiés aux éditions Bergis sous le titre " Marx et Engels poètes " en 1933) et ses efforts pour se faire publier. Le dossier de presse est consacré principalement à ses deux seules pièces de théâtre mises en scène : Spartacus en 1936 et David et Bethsabée en 1946. Ces ensembles sont complétés par un dossier de gestion de l'oeuvre suivi par Marcel Ollivier, puis par sa dernière compagne, Odette Bagno, après la disparition de ce dernier. Enfin, les quelques documents et papiers officiels contenus dans le dossier biographique aident à reconstituer quelques peu son parcours biographique.
Ses archives comprennent des dossiers biographiques et des dossiers sur la littérature, le théâtre, la poésie et l'art allemand, la psychanalyse et ses courants au XXe siècle, le marxisme ainsi que sa bibliothèque de travail et sa documentation.
Le fonds se compose de carnets de notes et dossiers de travail pour la préparation de ses ouvrages ainsi que de manuscrits en partie inédits et d'une bibliothèque d'études.
Le fonds est composé pour l'essentiel de notes de cours, de dossiers de préparation des éditions de Lewis Carroll et d'Oscar Wilde dans la Bibliothèque de la Pléiade, et de la bibliothèque de travail de Jean Gattégno.
Les archives comprennent les manuscrits de ses articles scientifiques et littéraires ainsi que les textes de ses différentes interventions lors de conférences. On retrouve également des dossiers et documents préparatoires à ses ouvrages, une documentation professionnelle sur son rôle au sein de l'institution psychanalytique. Une correspondance très riche, notamment avec des personnalités féministes et anticolonialistes, ainsi que des dossiers de correspondances professionnelles (avec ses éditeurs) viennent compléter l'ensemble de ce fonds.
Ce fonds comprend les manuscrits de l'œuvre, des notes et des dossiers de travail, des cassettes audio (cours et conférences). On y trouve aussi des dossiers éditoriaux, des dossiers de presse et quelques photographies. La bibliothèque de l'auteur est particulièrement riche en ouvrages sur la patristique, les hérésies chrétiennes, la gnose, la pensée médiévale, le judaïsme.
Les archives comprennent de nombreux manuscrits de traductions de l'américain et de l'espagnol, de Faulkner à Steinbeck, de Valle-Inclán à Truman Capote. Elles comportent également les essais critiques de l'auteur, le manuscrit retravaillé de son ouvrage d'entretiens avec Christian Guidicelli, Mémoires d'un traducteur, ainsi que des notes de travail et une partie de sa correspondance professionnelle. De la documentation, de nombreux dossiers de la Société des Amis de Maurice Edgar Coindreau relatifs au prix du meilleur livre américain en traduction, parfois postérieurs au décès de l'auteur et un important dossier de presse, composé à la fois de ses articles, d'articles sur lui et sur ses textes traduits, complètent cet ensemble.
Outre son Journal, les archives de Ludmila Savitzky contiennent des mémoires sur sa
jeunesse russe, d'importants dossiers de travail sur les auteurs qu'elle a traduits
ou commentés, des dossiers de réception critique de ses œuvres, de la documentation
bibliographique, un choix de photographies de famille et d'amis (hommes de lettres)
et une masse importante de lettres reçues - en particulier de Max-Pol Fouchet, James
Joyce, Ezra Pound, Julien Benda, Jean-Richard Bloch, André Spire, Rachilde, Alfred
Vallette et de toute l'intelligentsia de son temps. Toutes les pièces ayant servi à
son divorce d'avec son deuxième mari, Jules Rais, constituent un dossier
sociologique représentatif de l'histoire des mœurs et des femmes sous la Troisième
République. Les archives personnelles de John Rodker contenues dans le fonds Ludmila
Savitzky sont essentielles pour comprendre la genèse de l'œuvre de Rodker et sa
relation à sa principale traductrice en français.
Les échanges entre Marcel Bloch et Ludmila sont restés à Lestiou, dans les archives
familiales [2 boîtes pp argent] ainsi que les lettres de la famille proche :
André, Gertie, etc. Il n'y a à l'IMEC qu'une seule carte postale signée du couple
« Marcel-Suzanne].
Le fonds contient ses dossiers de travail, les manuscrits de son œuvre littéraire, de ses articles ainsi que les versions scénarisées de ses romans. On retrouve également ses traductions depuis l'hébreu des oeuves d'Amos Kenan. Les dossiers de correspondances sont rassemblés autour de la publication de ses livres. Des dossiers de presse complètent cet ensemble.
Les archives de ce fonds sont essentiellement constituées de dossiers d'auteurs comprenant notamment des contrats, de la correspondance et des relevés de droits (La classification "auteurs français / auteurs étrangers"est directement issue du classement d'origine). Des archives économiques et juridiques datant des débuts de l'agence y sont adjointes. Les archives de l'agence littéraire Jenny Bradley sont également conservées dans le fonds.
Les archives reflètent l'ensemble de ses activités de traducteur - de Faulkner, avec les traductions de Sartoris , Sanctuaire , ainsi que d'un grand nombre de nouvelles et d'essais inédits -, mais aussi de John Cowper Powys, Fred Chappell ou Shelby Foote. Elles reflètent également son travail d'universitaire (cours sur la littérature américaine), de critique littéraire, d'éditeur scientifique et de directeur des Etudes faulknériennes . Le fonds comprend aussi un hommage à Maurice-Edgar Coindreau, dont il fut le disciple.
Le fonds contient quelques archives concernant l'œuvre romanesque de Gilles
Barbedette, dont son roman Baltimore , mais la majorité
des archives se rapporte principalement à son travail de traducteur et de maître
d'œuvre initial d'un projet d'édition des œuvres de Vladimir Nabokov dans la «
Bibliothèque de la Pléiade ». L'ensemble documentaire ainsi constitué comprend des
documents qu'il avait produits ou rassemblés au fil des ans sur Vladimir Nabokov :
manuscrits de traductions, correspondance avec Vera Nabokov (veuve de l'auteur) et
René de Ceccatty, Daniel Defert, plusieurs membres de la famille Gallimard, Hervé
Guibert, Maurice Nadeau ou Edmund White, des dossiers préparatoires, des dossiers de
presse (qui commencent en 1939) et des dossiers thématiques. Une correspondance de
Nabokov, rédigée en français - attestant de l'importance de son séjour à Paris -
ainsi qu'un ensemble iconographique enrichissent le fonds.
Le fonds comprend les manuscrits de son oeuvre de dramaturge, de romancier, d'essayiste et de traducteur. Pour chaque titre, il existe de nombreuses versions dactylographiées avec des corrections différentes accompagnées parfois du texte initial manuscrit. Marcel Ollivier retravaillait énormément ses textes : ses mémoires restées inédites jusqu'à ce jour, à l'exception d'un extrait publié dans la revue " Communisme ", n°55/56 en 1998, en sont un exemple parfait. La correspondance reçue des éditeurs et sa correspondance avec Yvon Bourdet, Branko Lazitch et François Maspero met en évidence son intense activité de traducteur (entre autres les poèmes de jeunesse de Marx et Engels publiés aux éditions Bergis sous le titre " Marx et Engels poètes " en 1933) et ses efforts pour se faire publier. Le dossier de presse est consacré principalement à ses deux seules pièces de théâtre mises en scène : Spartacus en 1936 et David et Bethsabée en 1946. Ces ensembles sont complétés par un dossier de gestion de l'oeuvre suivi par Marcel Ollivier, puis par sa dernière compagne, Odette Bagno, après la disparition de ce dernier. Enfin, les quelques documents et papiers officiels contenus dans le dossier biographique aident à reconstituer quelques peu son parcours biographique.
Ses archives comprennent des dossiers biographiques et des dossiers sur la littérature, le théâtre, la poésie et l'art allemand, la psychanalyse et ses courants au XXe siècle, le marxisme ainsi que sa bibliothèque de travail et sa documentation.
Le fonds se compose de carnets de notes et dossiers de travail pour la préparation de ses ouvrages ainsi que de manuscrits en partie inédits et d'une bibliothèque d'études.
Le fonds est composé pour l'essentiel de notes de cours, de dossiers de préparation des éditions de Lewis Carroll et d'Oscar Wilde dans la Bibliothèque de la Pléiade, et de la bibliothèque de travail de Jean Gattégno.
Les archives comprennent les manuscrits de ses articles scientifiques et littéraires ainsi que les textes de ses différentes interventions lors de conférences. On retrouve également des dossiers et documents préparatoires à ses ouvrages, une documentation professionnelle sur son rôle au sein de l'institution psychanalytique. Une correspondance très riche, notamment avec des personnalités féministes et anticolonialistes, ainsi que des dossiers de correspondances professionnelles (avec ses éditeurs) viennent compléter l'ensemble de ce fonds.
Ce fonds comprend les manuscrits de l'œuvre, des notes et des dossiers de travail, des cassettes audio (cours et conférences). On y trouve aussi des dossiers éditoriaux, des dossiers de presse et quelques photographies. La bibliothèque de l'auteur est particulièrement riche en ouvrages sur la patristique, les hérésies chrétiennes, la gnose, la pensée médiévale, le judaïsme.