Les archives d'Albert Flocon comprennent la correspondance du graveur, les dossiers préparatoires de ses ouvrages et plusieurs dizaines de carnets restés en possession de ses ayants droit : carnets de notes et de dessins au fusain, à la craie grasse, à la plume (nombreux portraits, dont plusieurs de Bachelard), des gravures et des épreuves des cuivres de ses ouvrages, un abécédaire de Victor Hugo, des écrits et de la documentation sur la perspective, le lien entre mathématiques et art, entre typographie et architectonique, datant de l'époque où il était professeur à l'Ecole Estienne et aux Beaux-Arts. On trouve également une importante correspondance avec Escher, avec le graveur suisse Yersin et avec de nombreux artistes, des dessins de la Libération de Toulouse, ses projets d'ouvrages ou d'expositions, son autobiographie, des dossiers de presse, etc.
Lors de son premier contact avec l'IMEC, l'artiste prétendait ne détenir aucune archive constituée. Dado a alors mis au point une pratique qui lui est spécifique ; il "ADN-ise" - l'expression lui appartient - des catalogues anciens ou récents ou tout autre imprimé le concernant. C'est-à-dire qu'il y a introduit toutes sorte d'artefacts de la vie qui court, correspondances sérieuses ou banales, factures, ordonnances de médecins, cartes postales, des photographies de lui, de ses enfants, de sa maison, de son atelier, de ses œuvres, etc., sans oublier de les retoucher avec de l'encre, un crayon ou autrement. Par ailleurs, petit à petit, explorant les parties négligées de la maison qu'il habitait près de Gisors, Dado a découvert des cahiers de jeunesse et des carnets de dessins remontant aux années 50, des correspondances et des photographies délaissées qu'il a déposé dans son fonds.
Outre une importante iconographie (photographies d'œuvres, photographies d'expositions), le fonds comprend des dossiers d'expositions, des dossiers d'artistes, des dossiers de presse, la correspondance professionnelle et administrative, des livres d'or.
Ce fonds se compose de la correspondance épistolaire qu'ont entretenue les participants avec le comité directeur du Salon, celle-ci allant du simple règlement de cotisation à l'échange de points de vue sur la cration ou sur l'actualité artistique. On trouve également les procès-verbaux des séances du comité qui représentent une source fondamentale d'information, tant pour la compréhension du fonctionnement du Salon que pour la connaissance des problèmes qu'il a rencontrés et des polémiques qui y ont éclaté. A ce vaste ensemble s'ajoutent les livrets publiés dès le premier Salon et qui incluent la liste des exposants et de leurs oeuvres. Il faut aussi compter les cahiers Réalités Nouvelles édités de 1947 à 1956, et qui furent d'une importance fondamentale pour la propagation de la renommée du Salon à l'étranger. Ces cahiers réunissent des reproductions d'oeuvres de certains exposants accompagnés de textes théoriques, de considérations esthétiques, mais aussi de citations de philosophes, d'écrivains, de poètes, d'artistes et de compositeurs de renom. Le fonds d'archives comprend également un corpus photographique considérable d'oeuvres ou de portraits d'artistes destinés aux cahiers puis aux livrets à partir des années 1960. Pour les dix premières années du Salon, des dossiers comportant les articles parus dans la presse sur ses manifestations constituent une source d'information précieuse. Ce fonds permettra de saisir le rôle majeur que le Salon des Réalités Nouvelles joua dans l'histoire de l'art abstrait, de cerner davantage son identité, ses engagements, ses affirmations et ses contradictions. Il aidera également à mieux connaître les trente dernières années de vie du Salon des Réalités Nouvelles qui n'ont jamais fait l'objet d'une étude et durant lesquelles se sont investis des individus dont l'histoire reste à écrire.
Ce fonds rassemble des notes et des dossiers de travail, des archives professionnelles, de la correspondance, des dossiers de presse, des archives iconographiques et audiovisuelles. Une grande partie de la correspondance professionnelle d'Édouard Pignon concerne ses échanges avec les galeries. Beaucoup de correspondances sont adressées conjointement à Édouard Pignon et Hélène Parmelin. La bibliothèque est commune à celle d'Hélène Parmelin.
Cet ensemble de documents comprend pour l'essentiel des dossiers d'expositions, des dossiers de presse et des photographies. Il contient également quelques cassettes vidéo, quelques estampes et des éléments de correspondances.
Ce fonds comprend des manuscrits d'articles, des cartons d'invitation et des affiches, des livres d'or et des fichiers d'adresses, quelques esquisses de dessins, de la correspondance, des archives iconographiques et des dossiers de presse. Un ensemble documentaire, postérieur à la fermeture de la galerie, complète le fonds.
Outre une importante iconographie (photographies d'œuvres, photographies d'expositions), le fonds comprend des dossiers d'expositions en France ou à l'étranger, des dossiers d'artistes, des dossiers de presse, la correspondance professionnelle et administrative et la liste des expositions depuis 1942.
Le fonds concerne l'époque où Pierre Bordas dirigeait la maison. Il est constitué d'archives économiques et juridiques, d'archives éditoriales, de dossiers de presse et de catalogues. Il comprend également l'ensemble des ouvrages publiés par Bordas et par les Éditions Dessain et Tolra.
Les archives reflètent les différentes activités de Guy Dumur. Ses activités de critique de théâtre sont particulièrement mises en valeur par un dossier de presse très complet. Sa correspondance est principalement professionnelle. Il a entretenu une correspondance suivie pendant de longues années avec René Char, Julien Gracq, André Pieyre de Mandiargues, Georges Schehadé et Nicolas de Staël. Un dossier en hommage à l'auteur clôt le fonds. La bibliothèque de l'auteur est par ailleurs riche d'ouvrages sur le théâtre, d'écrits sur l'art, de collections de revues et de nombreux numéros de France Observateur, du Nouvel Observateur et de Médecine de France. Quelques correspondances de gestion de l'œuvre postérieures à sa mort complètent le tout.
Le fonds rassemble la correspondance personnelle de Michèle Katz, un abondant journal (1963-2010), des écrits et des notes diverses, des livres d'artistes, des catalogues d'expositions et des affiches. Michèle Katz a également déposé les manuscrits poétiques et littéraires de son père, Pierre Katz (1911-1945).
Le fonds d'archives comprend les cahiers de son journal (1948-1961), les notes et brouillons de ses poèmes et de ses textes en prose (scenarii de pièces de théâtre, de films, textes sur la peinture, l'architecture...), de la correspondance personnelle et professionnelle. Des carnets de dessins, des estampes, des gravures sur cuivre et sur bois, des affiches ainsi que des photographies (de ses oeuvres, prises par lui), complètent ce premier ensemble. Il est également constitué des archives de l'Association des amis de Jacques Pajak et de la Fondation Jacques Pajak.
Constitué d'un important rassemblement de notes, de préparations de cours, mais également d'archives éditoriales, de documentations iconographiques et audiovisuelles et d'un dossier de presse, le fonds Gérard Blanchard compte une abondante bibliothèque, associant ses publications à sa bibliothèque de travail.
Le fonds contient de nombreux brouillons et dactylogrammes de l'œuvre publiée ainsi que des oeuvres de jeunesse et des projets non aboutis. Sa correspondance professionnelle permet de comprendre les liens de l'auteur avec des artistes aussi divers que Lewis Baltz, Daniel Dezeuze, Noël Dolla, Olivier Mosset, Jean-Luc Mylayne, Jean-Luc Parant, Bernard Plossu, Willy Ronis, Magdi Senadji ou Carmelo Zagari. Ses dossiers de travail sur des artistes et ses dossiers documentaires sur la photographie, l'art contemporain ainsi que sur l'Artothèque de Vitré, dont il fut le conseiller artistique, complètent le fonds. A noter la présence de nombreux dactylogrammes d'ouvrages, parfois sous forme d'ébauche et quelques travaux universitaires reçus.
Les archives d'Albert Flocon comprennent la correspondance du graveur, les dossiers préparatoires de ses ouvrages et plusieurs dizaines de carnets restés en possession de ses ayants droit : carnets de notes et de dessins au fusain, à la craie grasse, à la plume (nombreux portraits, dont plusieurs de Bachelard), des gravures et des épreuves des cuivres de ses ouvrages, un abécédaire de Victor Hugo, des écrits et de la documentation sur la perspective, le lien entre mathématiques et art, entre typographie et architectonique, datant de l'époque où il était professeur à l'Ecole Estienne et aux Beaux-Arts. On trouve également une importante correspondance avec Escher, avec le graveur suisse Yersin et avec de nombreux artistes, des dessins de la Libération de Toulouse, ses projets d'ouvrages ou d'expositions, son autobiographie, des dossiers de presse, etc.
Lors de son premier contact avec l'IMEC, l'artiste prétendait ne détenir aucune archive constituée. Dado a alors mis au point une pratique qui lui est spécifique ; il "ADN-ise" - l'expression lui appartient - des catalogues anciens ou récents ou tout autre imprimé le concernant. C'est-à-dire qu'il y a introduit toutes sorte d'artefacts de la vie qui court, correspondances sérieuses ou banales, factures, ordonnances de médecins, cartes postales, des photographies de lui, de ses enfants, de sa maison, de son atelier, de ses œuvres, etc., sans oublier de les retoucher avec de l'encre, un crayon ou autrement. Par ailleurs, petit à petit, explorant les parties négligées de la maison qu'il habitait près de Gisors, Dado a découvert des cahiers de jeunesse et des carnets de dessins remontant aux années 50, des correspondances et des photographies délaissées qu'il a déposé dans son fonds.
Outre une importante iconographie (photographies d'œuvres, photographies d'expositions), le fonds comprend des dossiers d'expositions, des dossiers d'artistes, des dossiers de presse, la correspondance professionnelle et administrative, des livres d'or.
Ce fonds se compose de la correspondance épistolaire qu'ont entretenue les participants avec le comité directeur du Salon, celle-ci allant du simple règlement de cotisation à l'échange de points de vue sur la cration ou sur l'actualité artistique. On trouve également les procès-verbaux des séances du comité qui représentent une source fondamentale d'information, tant pour la compréhension du fonctionnement du Salon que pour la connaissance des problèmes qu'il a rencontrés et des polémiques qui y ont éclaté. A ce vaste ensemble s'ajoutent les livrets publiés dès le premier Salon et qui incluent la liste des exposants et de leurs oeuvres. Il faut aussi compter les cahiers Réalités Nouvelles édités de 1947 à 1956, et qui furent d'une importance fondamentale pour la propagation de la renommée du Salon à l'étranger. Ces cahiers réunissent des reproductions d'oeuvres de certains exposants accompagnés de textes théoriques, de considérations esthétiques, mais aussi de citations de philosophes, d'écrivains, de poètes, d'artistes et de compositeurs de renom. Le fonds d'archives comprend également un corpus photographique considérable d'oeuvres ou de portraits d'artistes destinés aux cahiers puis aux livrets à partir des années 1960. Pour les dix premières années du Salon, des dossiers comportant les articles parus dans la presse sur ses manifestations constituent une source d'information précieuse. Ce fonds permettra de saisir le rôle majeur que le Salon des Réalités Nouvelles joua dans l'histoire de l'art abstrait, de cerner davantage son identité, ses engagements, ses affirmations et ses contradictions. Il aidera également à mieux connaître les trente dernières années de vie du Salon des Réalités Nouvelles qui n'ont jamais fait l'objet d'une étude et durant lesquelles se sont investis des individus dont l'histoire reste à écrire.
Ce fonds rassemble des notes et des dossiers de travail, des archives professionnelles, de la correspondance, des dossiers de presse, des archives iconographiques et audiovisuelles. Une grande partie de la correspondance professionnelle d'Édouard Pignon concerne ses échanges avec les galeries. Beaucoup de correspondances sont adressées conjointement à Édouard Pignon et Hélène Parmelin. La bibliothèque est commune à celle d'Hélène Parmelin.
Cet ensemble de documents comprend pour l'essentiel des dossiers d'expositions, des dossiers de presse et des photographies. Il contient également quelques cassettes vidéo, quelques estampes et des éléments de correspondances.
Ce fonds comprend des manuscrits d'articles, des cartons d'invitation et des affiches, des livres d'or et des fichiers d'adresses, quelques esquisses de dessins, de la correspondance, des archives iconographiques et des dossiers de presse. Un ensemble documentaire, postérieur à la fermeture de la galerie, complète le fonds.
Outre une importante iconographie (photographies d'œuvres, photographies d'expositions), le fonds comprend des dossiers d'expositions en France ou à l'étranger, des dossiers d'artistes, des dossiers de presse, la correspondance professionnelle et administrative et la liste des expositions depuis 1942.
Le fonds concerne l'époque où Pierre Bordas dirigeait la maison. Il est constitué d'archives économiques et juridiques, d'archives éditoriales, de dossiers de presse et de catalogues. Il comprend également l'ensemble des ouvrages publiés par Bordas et par les Éditions Dessain et Tolra.
Les archives reflètent les différentes activités de Guy Dumur. Ses activités de critique de théâtre sont particulièrement mises en valeur par un dossier de presse très complet. Sa correspondance est principalement professionnelle. Il a entretenu une correspondance suivie pendant de longues années avec René Char, Julien Gracq, André Pieyre de Mandiargues, Georges Schehadé et Nicolas de Staël. Un dossier en hommage à l'auteur clôt le fonds. La bibliothèque de l'auteur est par ailleurs riche d'ouvrages sur le théâtre, d'écrits sur l'art, de collections de revues et de nombreux numéros de France Observateur, du Nouvel Observateur et de Médecine de France. Quelques correspondances de gestion de l'œuvre postérieures à sa mort complètent le tout.
Le fonds rassemble la correspondance personnelle de Michèle Katz, un abondant journal (1963-2010), des écrits et des notes diverses, des livres d'artistes, des catalogues d'expositions et des affiches. Michèle Katz a également déposé les manuscrits poétiques et littéraires de son père, Pierre Katz (1911-1945).
Le fonds d'archives comprend les cahiers de son journal (1948-1961), les notes et brouillons de ses poèmes et de ses textes en prose (scenarii de pièces de théâtre, de films, textes sur la peinture, l'architecture...), de la correspondance personnelle et professionnelle. Des carnets de dessins, des estampes, des gravures sur cuivre et sur bois, des affiches ainsi que des photographies (de ses oeuvres, prises par lui), complètent ce premier ensemble. Il est également constitué des archives de l'Association des amis de Jacques Pajak et de la Fondation Jacques Pajak.
Constitué d'un important rassemblement de notes, de préparations de cours, mais également d'archives éditoriales, de documentations iconographiques et audiovisuelles et d'un dossier de presse, le fonds Gérard Blanchard compte une abondante bibliothèque, associant ses publications à sa bibliothèque de travail.
Le fonds contient de nombreux brouillons et dactylogrammes de l'œuvre publiée ainsi que des oeuvres de jeunesse et des projets non aboutis. Sa correspondance professionnelle permet de comprendre les liens de l'auteur avec des artistes aussi divers que Lewis Baltz, Daniel Dezeuze, Noël Dolla, Olivier Mosset, Jean-Luc Mylayne, Jean-Luc Parant, Bernard Plossu, Willy Ronis, Magdi Senadji ou Carmelo Zagari. Ses dossiers de travail sur des artistes et ses dossiers documentaires sur la photographie, l'art contemporain ainsi que sur l'Artothèque de Vitré, dont il fut le conseiller artistique, complètent le fonds. A noter la présence de nombreux dactylogrammes d'ouvrages, parfois sous forme d'ébauche et quelques travaux universitaires reçus.