Le fonds rassemble l'ensemble de ses publications, des manuscrits et des notes, de la correspondance et des photographies, ainsi que quelques œuvres originales (tableaux-reliefs, boules, objets).
Les archives de Fred Deux comprennent plusieurs dizaines de manuscrits parfois inédits, ainsi qu'une centaine de cassettes audio dans lesquelles Fred Deux se raconte. Les archives de Cécile Reims sont composées par les manuscrits de ses ouvrages autobiographiques ; on y trouve plus particulièrement un important ensemble d'estampes, des épreuves d'artiste pour l'essentiel ; outre celles issues de sa propre démarche artistique, ces estampes reproduisent des dessins de Hans Bellmer, Leonor Fini ou Fred Deux. Fred Deux et Cécile Reims ont en commun une abondante correspondance témoignant d'un réseau complexe d'amitiés et d'affinités au sein duquel ont évolué les deux artistes et écrivains. Cette correspondance est complétée par celle provenant de Catherine et François Wehrlin, ancien directeur de l'architecture au ministère de la Culture, qui a fait l'objet d'un apport distinct par Catherine Wehrlin.
Les archives de Boris Taslitzky rassemblent de la correspondance, des photographies de tableaux, des dossiers de presse, les catalogues de ses expositions, de petits imprimés : cartons d'invitation, dépliants, un dossier biographique et plusieurs carnets de dessins souvent croqués durant les réunions de cellule du Parti Communiste.
Ce fonds comprend des manuscrits de textes publiés ou non par Robert Lapoujade (notamment La Peinture trahie, qui ne paraîtra que sous forme d'extraits, ou Le Secret de la Joconde), ainsi que les scénarios de certains de ses films (Don Quichotte, Le Socrate, Le Sourire vertical). En plus d'une correspondance privée et professionnelle, le fonds rassemble des carnets de notes et des dossiers de travail, des dossiers de presse, des archives iconographiques et audiovisuelles. Les documents les plus anciens de ce fonds remontent aux années de guerre, pendant lesquelles Robert Lapoujade a d'abord été envoyé à Uriage faire un stage d'art dramatique, avant de passer à la clandestinité afin d'éviter le travail obligatoire en Allemagne. Les documents les plus récents sont datés des années 1990.
Le fonds d'archives de Zeuxis Magazine est composé d'une abondante correspondance (avec notamment Freddy Buache, Lucieno Emmer, Henri Chopin, Jean-Marie Drot, Jean Barral, Henri Alekan, Henri Storck, Marcel Hanoun, Jean-Luc Parant), de cahiers de travail documentant chacun des numéros de la revue, des dépliants, des catalogues, des cahiers de travail, des dossiers ainsi que les catalogues des six Biennales internationales du film sur l'art, des cinq livres publiés par Zeuxis Magazine aux Éditions Séguier (Art et cinéma, Peinture et cinéma, Bruegel, le Moulin et la Croix, L'art de Benoît Jacquot, Cinéaste de la mélancolie), ou aux éditions du centre Pompidou (Ce magique drap bleu de Luciono Emmer et L'art d'Alain Resnais par Alain Fleischer), de dossiers de presse et de la collection entière de la revue. On y trouve également d'importants ensembles documentaires autour de Jacques Baratier, Jean-Claude Sée, Catherine Binet, John Menzer, Maurice Estève, Michel Ragon, José Pierre, des différents Congrès du film sur l'art à Bruxelles, et des entretiens non publiés de Marc Le Bot, Jean-José Marchand, Michel Delaborde...
Le fonds contient de nombreux dessins ainsi que de la presse attestant de la réception de l'oeuvre de Marie-Thérèse Lanoa. De la correspondance familiale et des documents biographiques complètent l'ensemble.
L'ensemble est essentiellement constitué d'articles de presse, de programmes de théâtre et de danse, ainsi que de nombreux enregistrements sonores d'interviews de Nelcya Delanoë, qui ont servi à documenter son ouvrage sur l'American Center.
Cet ensemble de documents rassemble des archives documentant la publication d'un ouvrage de Liliane Brion-Guerry bien connu des historiens de l'art du XXe siècle : 1913. Il comprend également des documents concernant l'enseignement, les travaux de recherches et la parution d'ouvrages d'histoire de l'art et d'histoire de l'architecture. La période couverte par ces archives va approximativement du début des années 1970 aux années 1990.
Le fonds confié par Jeannine Warnod, sa fille, comporte une large sélection de dessins, les manuscrits de ses romans, essais et articles, les programmes des manifestations auxquelles André Warnod a participé, une importante correspondance, des documents biographiques, des dossiers photographiques et éditoriaux, ainsi qu'une collection d'imprimés et de périodiques du début du vingtième siècle.
On trouve dans ce fonds les manuscrits de l'œuvre d'Hélène Parmelin, des carnets et des journaux, des notes et des dossiers de travail, des archives éditoriales et professionnelles, de la correspondance, des dossiers de presse, des archives iconographiques et audiovisuelles. De nombreuses correspondances sont adressées conjointement à Hélène Parmelin et à Édouard Pignon. La bibliothèque est commune à celle d'Édouard Pignon. L'ensemble couvre approximativement la période des années 40 au milieu des années 90.
Ce fonds comprend les manuscrits de l'œuvre de Jacques Henric, de la correspondance, des dossiers de presse et des archives iconographiques.
Le fonds Maurice Guy-Loë est constitué principalement des archives de la Maison nationale des artistes qu'il créa à Nogent-sur-Marne en 1944 : testament des donateurs, inventaire mobilier, assemblées générales, démarches administratives, correspondance, etc. Ce fonds comprend également un ensemble autour du Prix Blumenthal (années 30), quelques dossiers autour d'expositions consacrées à l'œuvre de Guy-Loë (photos, presse, catalogues) et une correspondance professionnelle et privée remontant au début du XXe siècle.
Archives économiques et juridiques ; archives éditoriales ; catalogues ; dossiers de presse ; archives iconographiques.
La collection, rassemblée par l'IMEC, comprend à la fois la revue (collection incomplète) et une centaine d'ouvrages publiés par les Éditions de La Revue blanche sur 140 titres recensés.
Les carnets et journaux, la correspondance ainsi que les archives iconographiques retracent le parcours et la personnalité de Georgette Camille. Ses manuscrits des traductions ainsi que les nombreux dossiers relatifs à l'Association France/Grande-Bretagne, dont Georgette Camille était l'animatrice, mettent en avant ses activités de traductrice et ses efforts pour établir des passerelles culturelles entre la France et la Grande-Bretagne. La bibliothèque de l'auteure est riche de nombreuses publications surréalistes dédicacées.
