Cadre de classement des collections de l'IMEC 105 358 résultats (4ms)

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Jean Paulhan. Georges Sabiron

PLH_Lettres SABIRON_10_1918 (3) , 1924  

Manuscrit du texte que Jean Paulhan donna sur son ami Georges Sabiron, poète, collaborateur du Mercure de France, des Soirées de Paris, engagé volontaire malgré sa claudication et tué au Front en 1918.

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Mme L. Lemarire. Lettre à Jean Paulhan

PLH_Lettres SABIRON_10_1918 , 14/10/1918  

Cette lettre annonce la mort de Georges Sabiron: "On est venu de la mairie me notifier le décès de mon frère. / Il a été identifié et inhumé le 7 août à l'endroit où il a été porté disparu, ce qui laisserait croire qu'il serait resté sur le champ de bataille depuis le 29 mai."

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Georges Sabiron. Lettre à Jean Paulhan

PLH_Lettres SABIRON_10_1917 (5) , 1er janvier 1917  

Dans cette lettre, Georges Sabiron relate qu'il est "préposé à la surveillance des gaz" : "Il faut y distinguer une très faible odeur de moutarde ou de caoutchouc qui brûle. / L'obus éclate faiblement et ouvre un récipient plein d'un liquide bouillant et les vapeurs sont invisibles et leurs effets sont lents à se manifester."

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Georges Sabiron. Lettre à Jean Paulhan

PLH_Lettres SABIRON_10_1917 (4) , 18/08/1917  

Le tertre où je me tiens est un éboulis.Cent cinquante noirs reposent dessous. Toirs jours après notre occupation, les Boches ont fait sauter ces tranchées, par des mines secrètes qu'ils y avaient laissées. L'amorce du détonateur était retenue par un ressort d'acier que rongeait lentement un acide. / et une compagnie d'africains est restée prise au piège.

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Georges Sabiron. Lettre à Jean Paulhan

PLH_Lettres SABIRON_10_1917 (3) , 18/08/1917  

Je suis préposé à la surveillance des gaz.Il faut y distinguer une très faible odeur de moutarde ou de caoutchouc qui brûle. / L'obus éclate faiblement et ouvre un récipient plein d'un liquide bouillant et les vapeurs sont invisibles et leurs effets sont lents à se manifester.

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Georges Sabiron. Carte pré-imprimée

PLH_Lettres SABIRON_10_1915 , 07/06/1915  

Carte du "modèle A' / pour les troupes en opération", adressée par le soldat Georges Sabiron, secteur 116, au sergent Jean Paulhan, "au Ier Zouaves / Poste de guet / Beauvais"'.

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Joe Bousquet. Lettre à Jean Pauhan

PLH_Lettres BOUSQUET_10_1943 (2) , 01/03/1943  

Joe Bousquet se rappelle, parmi ses souvenirs d ela Grande Guerre, deux très jeunes gens inséparables, Combasle et Colombet. Bousquet voudrait en faire une nouvelle : "un 105 éclata sur eux. Tué sur le coup, l'un des deux était étendu sur le nez; et l'autre, demeuré assis et râlant doucement, recevait sur le visage les fragments de cervelle sortis de son crâne ouvert."

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Joe Bousquet. Lettre à Jean Paulhan

PLH_Lettres BOUSQUET_10_1043 (2) , 01/03/1943  

L'écrivain Joe Bousquet, paralysé depuis la Grande Guerre, revient sur un souvenir de cette période: "Dans un bois où nous étions parqués en attendant la relève [&]"

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Jean Paulhan. Pages du manuscrit

PLH_guerrier appliqué_10 (2) , 1916  

Récit de la Grande Guerre par Jean Paulhan, mobilisé comme sergent au 9e régiment de Zouaves depuis le 1er août 1914 et blessé dès décembre suivant.